L’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec constate la présence de plusieurs freins au déploiement du plein potentiel des compétences infirmières.
Ainsi, cet organisme soutient que, en moyenne, 40 % des activités exercées par ses 86 000 membres pourraient être effectuées par un autre collègue au sein du réseau, comme une infirmière auxiliaire, un préposé aux bénéficiaires ou encore un technicien administratif. Ce que confirme à Bleu FM, le président du Syndicat des infirmières, infirmières auxiliaires et inhalotérapeutes de l’Est-du-Québec, Pier-Luc Bujold.
Une révision majeure de la collaboration interprofessionnelle pourrait certainement contribuer à améliorer la fluidité et l’efficacité de la première ligne, tout en permettant une coopération accrue avec les médecins, indique par ailleurs l’Ordre.






