Les maisons d’hébergement de 2e étape sont sécuritaires et ne mettent pas en danger les femmes, a tenu à dire récemment l’Alliance des maisons d’hébergement de 2e étape suivant un reportage de La Presse. Bleu FM en parlé à Mme Roxanne Barriault-Lévesque, la nouvelle directrice du Centre Louise-Amélie, située à Sainte-Anne-des-Monts et membre de cette alliance.
Ainsi, l’Alliance des maisons d’hébergement de 2e étape a démenti l’information divulguée dans l’article publié le 22 avril dernier intitulé : Un proxénète recrute une victime dans un centre d’hébergement pour femme, dans lequel il est suggéré que les maisons d’hébergement de 2e étape ne sont pas sécuritaires.
« Cette affirmation est non seulement erronée, mais elle est aussi profondément injuste et dangereuse. Elle contribue à désinformer la population et à semer un doute injustifié à l’égard d’un réseau de 38 maisons à travers le Québec dont la mission est essentielle et qui œuvre avec force et engagement à préserver la sécurité des femmes et des enfants victimes de violence conjugale post séparation », lit-on dans le communiqué de l’organisme.
L’Alliance des maisons d’hébergement de 2e étape poursuit : « Les maisons d’hébergement de 2e étape en violence conjugale sont, au contraire, des milieux hautement sécurisés, dotés de protocoles stricts, de systèmes de sécurité avancés et de partenariats avec les services policiers et communautaires », lit-on plus dans le communiqué de l’organisme.
Jointe par la salle des nouvelles de Bleu FM, Mme Barriault-Lévesque s’est faite, elle aussi, rassurante.
Elle poursuit en précisant ce que peut vivre sa clientèle.
Cela dit, Mme Barriault-Lévesque, rappelle comment l’accueil se fait et les services offerts en première et deuxième étape.
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